mercredi 3 novembre 2010

La Guadeloupe

une petite semaine en guadeloupe...

voici un tour d'horizon de l'île, en surface, et des souvenirs de chaleur et d'océan...

nous commençons notre découverte de la guadeloupe par une visite de basse-terre. ballade à travers son marché et ses petites rues...

le petit julien, que le jeu de la photo fait gentiment sourire...


 ... sous l'oeil attentif et amusé de sa mère


un marché guadeloupéen comme on se l'imagine : des fruits et des épices plein de couleurs et d'odeurs, et tandis que les étals sont pliés, nous finissons ce moment parmi les derniers maraîchers de l'après-midi.


 plus loin, d'autres laissent passer la chaleur de l'après-midi à l'ombre d'un café...

sur la route pour gourbeyre, nous nous arrêtons à une petite anse où des vendeurs proposent leurs poissons pêchés ce jour.



un petit port s'abrite dans cette anse, mais les maisons qui le bordent sont pourtant détruites et abandonnées, sans doute un des multiples souvenirs qu'a laissé hugo derrière lui...


plus tard, nous goutons à l'eau de l'océan, si chaude aux antilles, sur une plage où les guadeloupéens se retrouvent en famille le week-end


 le lendemain matin, nous remontons basse-terre pour grande-terre, vers notre première étape : saint-anne


 ici et là, les vendeurs de fruits attendent au bord de la route


 plus loin, sur la côte de la pointe des châteaux, nous croisons des pêcheurs, qui attrapent le poisson sans canne, juste en "ferrant" au bon moment


 pour la petite histoire, la pointe des châteaux se nomme ainsi parce que christophe colomb, en arrivant ici, est resté 1 mois au large sans débarquer. derrière la brume qui recouvrait la pointe, il lui semblait voir une forteresse. manquant d'eau potable, il a envoyé deux éclaireurs pour se rendre compte alors que ce relief était naturel...


 
 le soir, nous nous reposons à saint-françois, chez "nise"


 le lendemain, nous traversons moules. au milieu des rues et de l'animation ambiante, je me rends compte qu'ici aussi, le couvre-chef tient une place importante dans la vie des guadeloupéens. il est pratique bien sûr, mais traduit aussi le souci d'esthétisme et la personnalité de chacun...




 jacques, "comme jacques chirac !" me répète t'il plusieurs fois dans la conversation.





 les rues sont animées, et nous y croisons aussi bien des jeunes...


 que des groupes de femmes...


 ... pendant que d'autres observent simplement toute cette agitation.



 à nouveau sur la route, nous repartons en direction de anse bertrand. de la nationale, partent de nombreuses petites allées amusantes.


et une petite photo "club med",


 et de deux.


l'après-midi est une plongée dans la nature étonnante de l'île.




mais devant cette généreuse nature, la question qui nous vient est "où sont les animaux qui la peuplent ?". si les vaches et les oiseaux sont présents en nombre, en dehors de deux chiens et un rat, nous ne voyons ni insecte énorme, ni serpent. on peut supposer que sur île, une espèce animale est plus fragile qu'ailleurs et disparaît plus facilement, quelques soient les raisons.


après la route de la traversée, et la trop célèbre cascade aux écrevisses, nous atteignons la côte est de basse-terre. le soleil se couche devant vieux-habitants.


 les autres jours, nous continuerons la découverte de cette île, évitant les ondées tropicales,


dans les rues pas tout à fait désertes de pointe-à-pitre,


ou dans les petites anses de pêcheurs,


 et sur les routes, où la vie poursuit son cours même s'il pleut parfois.

dimanche 29 août 2010

La roumanie...

La roumanie, c'est d'abord une histoire de route, de villages traversés.
Des villages colorés, bariolés, des maisons peintes dans tous les tons, des foulards pour les femmes et des chapeaux pour les hommes... Des chemins de terre et des routes sinueuses.

Un homme nous racontait qu'il avait préféré partir en espagne trois ans plus tôt, pour vivre plus facilement avec sa famille. De retour ici pour les vacances, il était choqué de voir à quel point la qualité de vie des roumains baissait, les habitations s'abimaient... L'argent disparaissant dans des poches corrompues...

Il faut dire, il n'y a en effet que très peu d'organisation "touristique" dans ce pays. D'ailleurs, tant mieux car là où il y en a, c'est une vraie catastrophe. Entre vente de mini-bouddhas hors-contexte et sourire perdu, nous avons préféré de loin parcourir les chemins de ce pays qui nous ont conduit au travers de la vraie vie roumaine..








Le classique "entre tradition et modernité" : sur une cariole, au téléphone !









Sighisoara, le village natal du comte Dracula :